Festival de la Meuh Folle 2019 (Alès, 30) #1

1 min de lecture
festival de la meuh folle 2019 alès photos

A propos des « Infodromes » :

En 2019, Le Musicodrome souhaite aborder les festivals sous un angle nouveau car, après 11 ans d’existence et des centaines de live reports réalisés, l’équipe a pensé qu’il était intéressant de proposer des formats originaux. Après le lancement des articles « Carte postale » en 2018, 2019 voit donc arriver les « Infodromes ». Le concept est simple, il s’agit de réaliser une infographie en guise de live report. Cette dernière reprend les différents éléments structurant habituellement un live report mais ils sont présentés ici sous une approche plutôt visuelle. C’est une façon plus synthétique d’aborder les choses, plus rapide aussi à découvrir pour le lecteur, et c’est celle qui a été privilégiée pour la couverture du festival de la Meuh Folle cette année. Les live reports plus traditionnels continuent toujours sur Le Musicodrome, seuls quelques festivals intéressés par cette démarche seront couverts de la sorte. N’hésitez pas à nous faire part de vos retours, de vos suggestions éventuelles ou de toutes autres remarques utiles. Cette infodrome est la toute première réalisée et nous remercions la Meuh Folle de nous avoir fait confiance !

Infographie live report festival Meuh Folle 2019

 

Les autres articles à venir sur Le Musicodrome concernant le festival de la Meuh Folle 2019 :

  • Galerie photos de ces deux journées
  • Interview du Collectif 13

5 Comments

  1. Belle initiative !
    J’aime beaucoup le concept, à creuser !

    Des bizz’ les amis et chapeau à l’orga malgré le temps affreux alors 🙂

  2. Mortel le concept ! J’aime beaucoup aussi … coup dur pour l’ecologie la Meuh folle 😅… mais gros big up à eux quand même !!

    • Pour l’aspect local :
      – Le tremplin, c’est des artistes locaux (cette année The Natural Seed)
      – Les fournisseurs sont locaux (Alès boisson, SLS qui est juste à coté du capra et j’en passe)
      – Les foodtrucks viennent de la région.

      Le snack :
      – Les baguettes sont achetés dans la boulangerie qui est au bout de la rue (Marie Blachère).
      – Des menus Végés sont pour la 2nd année
      – Etre écolo, c’est avant tout moins consommé, avec le cashless, on aura des statistiques sur lesquelles se baser pour qu’il y ait le moins de reste possible. Cette année, on donne le surplus de consommables à des associations caritatives.

      N’hésitez pas à vous renseigner auprès de l’organisation pour les prochains compte-rendus du festival.

      • Bonjour Gwendal,

        Merci pour ce retour 🙂

        Juste quelques éclaircissements concernant les éléments discordants :
        – En ce qui concerne la figure représentant les éléments « écolo », celle-ci met en avant 3 thématiques, à savoir les boissons, la nourriture et les commodités.
        *Pour les boissons, nous faisions allusion à ce que nous avions de servi dans le verre et non pas aux fournisseurs… Heureusement que la Meuh Folle passe par des fournisseurs locaux. Par contre, la bière qu’on nous a servi, elle était ni locale ni artisanale puisque c’était de l’Estrella (brassée à Barcelone).
        *Pour la nourriture, celle servie dans l’enceinte du parc des expositions à l’unité ou dans le menu, elle n’était pas bio ni locale. La réponse se trouve dans le prix : 1,50€ un sandwitch avec 2 saucisses, le bio n’est pas à ce prix-là. En ce qui est du pain, Marie Blachère est une chaîne de boulangerie industrielle donc même si le pain est acheté à Alès, le pain n’est pas local (il n’est pas fabriqué avec des produits locaux !). Enfin, en ce qui concerne les menus végé, super idée et c’est très bien qu’elle soit encore effective cette année, mais la personne qui est vegan ne peut pas manger le soir (puisqu’elle ne peut même pas rentrer avec sa propre nourriture dans le Capra).

        – Pour les autres points, notamment l’allusion aux foodtrucks, effectivement il y avait plein d’alternatives pour manger, que ce soit veggie ou non, avec du bio ou de l’artisanal, mais les foodtrucks n’étaient là que pour les campeurs et le repas du samedi midi (et non pour les repas du soir).
        Pour la cashless, on peut y voir des avantages et inconvénients : niveau écologique, pas dit que la construction de 4 000 ou 5 000 cartes en plastiques pour une seule édition d’un événement, cela soit vraiment intéressant… par contre pour les restes données, c’est vraiment une très bonne chose qui pourrait être mise en avant 🙂

        J’ai pris le temps de répondre car il ne faut pas que l’ensemble des éléments présentés dans ce document soient perçus comme des reproches, loin de là, mais comme des constats (faits par des membres de l’équipe mais aussi des festivaliers rencontrés). Il n’y a rien à charge… On fait beaucoup de festivals, ceux sont des critères de plus en plus considérés par les festivaliers, et on avait envie de parler de l’événement bien au-delà des simples concerts.

  3. Bonjour Gwendal

    Je rejoins Aiollywood sur de nombreux point.
    – Le pain est industrielle de Marie Blachère n’a rien d’éthique, c’est une grosse entreprise générant d’immense bénéfice. De plus leurs baguettes ne sont pas bonne, mais ça c’est un avis personnel ! Je suis certain qu’un boulanger local et travaillant en circuit court est trouvable sur Alès.
    – Pour la bière, excusez-moi mais c’est de l’eau coloré sans goût. Quitte à augmenter un peu ou de proposer en plus, il y a plein de brasseurs locaux, voir en bio autour d’Alès.
    – Pour ce qui est des autres boissons, le coca je passe, le cidre tiède infecte et le jus d’orange, à part être acide et premier prix à donner des brûlures d’estomac, aucun intérêt.
    – Pour ce qui est de la qualité des sandwichs, toujours autant de mauvaise qualité, dixit un ami qui fréquente régulièrement les festivals partout en France. Moi-même étant végan, impossible pour moi de manger ou d’entrer avec ma nourriture, de la discrimination peut-être ?
    Blague à part car j’ai quand-même de l’humour, pourquoi ne pas faire travailler un food-truck végan le soir. La question de la sécurité est un faux problème, la partie à coté du fumoir à gauche en entrant était libre et vu l’accès, ne pouvait être utilisé comme sortie de secours puisque clôturée. Pourquoi ne pas mettre un food-truck à cet endroit là, à l’extérieur.
    – Les frites, comme d’habitudes, pas assez cuites et en mini barquettes PLASTIQUE, en carton recyclable c’est très bien aussi, cuite et en quantité supérieur c’est encore mieux 😉
    – Les poubelles en grand manquent dans la salle et sans oublié le coins catering bénévoles qui était une véritable porcherie (même les porcs sont plus propres) et je suis certains que dans le lot de bénévoles, quelques uns étaient missionnés à la distribution des sacs poubelles aux festivaliers, bel exemple !
    – Les toilettes sèches, ah, ce fabuleux endroit qui tombe en ruine depuis toutes ses années d’utilisation ! A revoir Pareil pour les urinoirs extérieur, où vous pouvez quand vous êtes un garçon, uriner à la vue de toutes et tous…

    Beaucoup d’effort à faire depuis les 4 ans que je fréquente ce festival et que je répète chaque année la même chose, mais rien ne bouge. Ah oui l’excuse comme me sort chaque année : tous les ans c’est des nouveaux qui organisent, mais il n’y a pas d’anciens pour passer le mot ?

    Bref, je ne suis pas à mon premier festival, en une dizaines d’années, j’en ai fais en France et à l’étranger, des petits comme des très grands par dizaines chaque année. Je bosse moi même sur quelques festivals, comme bénévole ou responsable d’équipe en technique, c’est peut-être pour ça que j’ai la critique facile, mais qui peut être constructive si elle est entendue…

    Phil

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